Rencontre fille tchetchene
Les Rencontres ont ainsi dû trouver, une fois encore, de nouveaux lieux.

La plupart des photos ont été prises en et Quelques-unes enou encore La deuxième guerre avec la Russie débuta en Ramzan Kadyrov est un autocrate, qui gouverne dans une relative indépendance de Moscou, à coups de diktats inspirés par la charia et une interprétation personnelle du droit coutumier tchétchène.
Le Kremlin a levé en avril le régime « KTO », opération antiterroriste, en place en Tchétchénie depuis la deuxième guerre, ce qui marque officiellement la fin du conflit.
La « cité des gens ordinaires » montre par constraste une ville en reconstruction.

Grozny, qui a souffert de nombreuses destructions notamment au cours de la première guerre où elle a été prise et reprise par les belligérants, a été reconstruite depuis à grand renfort de gratte-ciels et autres bâtiments prétentieux, avec notamment une très grande mosquéeinaugurée en On y voit également une présence pesante des militaires dans les rues.
Des femmes de ménage nettoient le sang des escaliers du Parlement à Grozny, après que quatre kamikazes se sont fait exploser le 19 octobreprovoquant la mort de trois autres personnes. La religion remplit le vide moral laissé par les combats, écrivent les auteures en ouverture de la « rencontre fille tchetchene de la religion ».
Mais la tradition, ici rencontre fille tchetchene lien avec un soufisme ancestral, se lit aussi dans des photos de danses rituelles en cercle, réservées aux hommes, où le mouvement est rendu par des photos floutées. Le pétrole et le gaz sont la principale richesse du pays, dont les réserves sont toutefois limitées.

Les puits sont concentrés à la périphérie de Grozny. Dans ces conditions, les femmes accèdent très difficilement à une vie sociale. En outre, le régime encourage la polygamie.

Avant guerre Grozny était une ville cosmopolite. Depuis, les étrangers sont partis. Les russes y sont désormais très minoritaires, la plupart ayant quitté la Tchétchénie.

Un pouvoir clanique et violent, qui réprime toute opposition ou contestation La « cité des serviteurs » se consacre aux soutiens de Ramzan Kadyrov, que ceux-ci le soient devenus par conviction ou par opportunisme. Les affaires montées de toutes pièces contre des opposants, sans parler des attentats ou des disparitions, ou encore les confessions et autocritiques obtenues par contrainte sont monnaie courante.
La fuite elle-même ne garantit pas toujours la sécurité des opposants, les services secrets tchétchènes ne se gênant pas pour intervenir dans toute la Fédération de Russie vis-à-vis de leurs ressortissants, voire au-delà.

La « cité de la guerre » enfin regroupe des photos et, dans le livre, des témoignages de parents de disparus ou de lieux attachés à ces disparitions. Cette partie se clôt sur la répression féroce contre les homosexuels orchestrée par le pouvoir en
Conformément à la recommandation formulée au paragraphe Walter Schwimmer, Secrétaire Général, se sont rendus à Moscou le 24 juin pour y tenir des consultations au plus haut niveau sur la République tchétchène. Cette visite avait été précédée par celle de M.